Si le Néo-Zélandais, AJ Hackett, a popularisé  le saut à l’élastique dans les années 90, la véritable origine de cette pratique remonte à bien plus longtemps.

Tout a commencé il y’a des milliers d’années à Vanuatu,  une l’île de la Pentecôte dans le Pacifique Sud, avec l’apparition d’un nouveau rituel appelé «plongée sous-marine». Cela consistait à sauter en s’attachant les chevilles avec seulement quelques pieds de vigne.

Selon la légende, l’histoire a commencé lorsqu’une femme s’est jeté du plus haut banania de l’île. Elle s’était attaché les chevilles avec des pieds de vigne pour échapper à son mari maltraitant. Lorsqu’elle sauta, la vigne interrompit sa chute. Une fois à terre, elle se moqua de son mari resté en haut. Celui-ci sauta pour la rattraper mais sans pied de vigne  pour le retenir… Il mourut sur le coup. 

L’événement a alors été renouvelé chaque année par les habitants de l’île.  Si dans un premier temps, les femmes ont été les seules à exercer « la plongée sous marine », les hommes ont finit par les rejoindre pour prouver leur courage. La tradition est toujours d’actualité à ce jour.